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1935/2015 : 80 ans de mensonges et de calomnies. Ça suffit !. Roger Holeindre
Avec ce livre se révèle un «géant» de la littérature patriotique, écrivain à la plume alerte et féconde, au talent reconnu, ancien «grand reporter», ancien et glorieux combattant de toutes les dernières guerres (Libération, Indochine, Algérie) qui n’hésite pas à dénoncer avec vigueur tous les maux dont souffre ce beau pays qu’est la France, depuis quatre-vingt ans.
«Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire» dit un vieux proverbe français… Certes, mais ce n’est pas le sentiment de l’auteur qui, pour sa part, se refuse à pratiquer «la langue de bois», car animé d’une foi patriotique intransigeante.
À un moment donné, en effet, il faut savoir choisir ! Soit, on se réfugie dans le silence prudent des «pusillanimes», qui se confond souvent avec la lâcheté, soit on assume le franc-parler des hommes de conviction, synonime de courage, voire d’abnégation et de sacrifice, devant les censeurs du «politiquement correct», délibéremment hostiles à une France française…
Roger Holeindre passe ainsi en revue, avec pertinence et lucidité, tous les aspects malheureux de la vie politique française depuis quatre-vingt ans. Sa fine analyse, son vocabulaire nourri, son humour et sa verve ne peuvent qu’emporter, sinon un enthousiasme légitime, du moins la franche adhésion des lecteurs du présent ouvrage.
Il a été en 1944, un des plus jeunes Résistants de France
Parti en Indochine à 17 ans, il a servi à la 1ère Division Navale d’Assaut.
Puis en 2e séjour, au 5e Bataillon de Commandos Parachutistes Coloniaux.
Puis en 3e séjour, volontaire pour Dien Bien Phu au 7e Bataillon de paras coloniaux…
Volontaire pour l’Algérie, il a servi au commando du 8e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine.
Il est titulaire de la Médaille Militaire, de la Croix de Guerre TOE avec trois citations, de la Croix de la Valeur Militaire avec deux citations, d’une citation exceptionnelle pour son action envers la jeunesse musulmane.
Il a été blessé deux fois au combat, notamment dans un corps à corps après avoir infiltré une katiba rebelle avec quatre hommes.
Le Cercle Renaissance a choisi de décerner le Prix Renaissance 2016 à un “ancien”, Roger Holeindre, pour son dernier ouvrage, véritable “coup de gueule” contre les manipulations historiques au seul service de la pensée unique. Par ce choix, le Cercle Renaissance “a tenu à honorer au soir de sa vie un homme de courage, de convictions et de grande générosité qui n’a pas été récompensé par les hochets du pouvoir en place, et qui méritait d’autant plus notre gratitude”…
Le Prix Renaissance – fondé en 1976 par Virgil Gheorghiu et Michel de Rostolan – a été notamment remis à Serge Dalens (Signe de Piste - 1976), Henri Vincenot (Le Pape des escargots -1979), au Pr Jean de Viguerie (Christianisme & Révolution - 1987), à Reynald Seycher (Juifs et Vendéens, d’un génocide à l’autre - 1992), à Jean Raspail (Sire - 1993), à Anna Brassié (La Varende, pour Dieu et le Roi -1994), à Jean Piat (Le dîner de Londres -1995), au Cdt Hélie Denoix de Saint-Marc (Les champs de braises -1996), au Gal Jean Delaunay (Lettres à mes petits-enfants -2001), à Anne Bernet (Saint Jérôme -2003), au Gal Pierre-Marie Gallois (Devoir de vérité -2004), à Aymeric Chauprade (Géopolitique -2005), à Dominique Venner (Le siècle de 1914 -2007), à Jean Madiran (Une civilisation blessée au cœur -2012)…
• Éditions d’Héligoland - 2015 ISBN : 978-2-36611-008-1, 1 volume 16 x 24, 600 pages.
«Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire» dit un vieux proverbe français… Certes, mais ce n’est pas le sentiment de l’auteur qui, pour sa part, se refuse à pratiquer «la langue de bois», car animé d’une foi patriotique intransigeante.
À un moment donné, en effet, il faut savoir choisir ! Soit, on se réfugie dans le silence prudent des «pusillanimes», qui se confond souvent avec la lâcheté, soit on assume le franc-parler des hommes de conviction, synonime de courage, voire d’abnégation et de sacrifice, devant les censeurs du «politiquement correct», délibéremment hostiles à une France française…
Roger Holeindre passe ainsi en revue, avec pertinence et lucidité, tous les aspects malheureux de la vie politique française depuis quatre-vingt ans. Sa fine analyse, son vocabulaire nourri, son humour et sa verve ne peuvent qu’emporter, sinon un enthousiasme légitime, du moins la franche adhésion des lecteurs du présent ouvrage.
Il a été en 1944, un des plus jeunes Résistants de France
Parti en Indochine à 17 ans, il a servi à la 1ère Division Navale d’Assaut.
Puis en 2e séjour, au 5e Bataillon de Commandos Parachutistes Coloniaux.
Puis en 3e séjour, volontaire pour Dien Bien Phu au 7e Bataillon de paras coloniaux…
Volontaire pour l’Algérie, il a servi au commando du 8e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine.
Il est titulaire de la Médaille Militaire, de la Croix de Guerre TOE avec trois citations, de la Croix de la Valeur Militaire avec deux citations, d’une citation exceptionnelle pour son action envers la jeunesse musulmane.
Il a été blessé deux fois au combat, notamment dans un corps à corps après avoir infiltré une katiba rebelle avec quatre hommes.
Le Cercle Renaissance a choisi de décerner le Prix Renaissance 2016 à un “ancien”, Roger Holeindre, pour son dernier ouvrage, véritable “coup de gueule” contre les manipulations historiques au seul service de la pensée unique. Par ce choix, le Cercle Renaissance “a tenu à honorer au soir de sa vie un homme de courage, de convictions et de grande générosité qui n’a pas été récompensé par les hochets du pouvoir en place, et qui méritait d’autant plus notre gratitude”…
Le Prix Renaissance – fondé en 1976 par Virgil Gheorghiu et Michel de Rostolan – a été notamment remis à Serge Dalens (Signe de Piste - 1976), Henri Vincenot (Le Pape des escargots -1979), au Pr Jean de Viguerie (Christianisme & Révolution - 1987), à Reynald Seycher (Juifs et Vendéens, d’un génocide à l’autre - 1992), à Jean Raspail (Sire - 1993), à Anna Brassié (La Varende, pour Dieu et le Roi -1994), à Jean Piat (Le dîner de Londres -1995), au Cdt Hélie Denoix de Saint-Marc (Les champs de braises -1996), au Gal Jean Delaunay (Lettres à mes petits-enfants -2001), à Anne Bernet (Saint Jérôme -2003), au Gal Pierre-Marie Gallois (Devoir de vérité -2004), à Aymeric Chauprade (Géopolitique -2005), à Dominique Venner (Le siècle de 1914 -2007), à Jean Madiran (Une civilisation blessée au cœur -2012)…
• Éditions d’Héligoland - 2015 ISBN : 978-2-36611-008-1, 1 volume 16 x 24, 600 pages.
Que Dieu sauve la France. Roger Holeindre
Roger Holeindre est né en Corse en 1929 dans une famille paysanne et ouvrière. Il passe une partie de sa jeunesse à Paris et en banlieue.
Durant la guerre 39/45, il est pensionnaire à la Pension Clerbois à Rosny-sous-Bois. Il est alors membre d’une troupe scoute clandestine et effectue de nombreuses missions de nuit pour la résistance.
À la libération, quittant la pension sans autorisation, il enlève, seul, deux mitrailleuses jumelées aux Allemands à la gare de triage de Noisy-le –Sec, devenant ainsi un des plus jeunes résistants de France.
À 17 ans, falsifiant ses papiers, il s’engage dans la Marine et part volontaire pour l’Indochine où il sert à la 1ère division Navale d’Assaut.
De retour en France, il se rengage aux Commandos Parachutistes Coloniaux et participe à tous les gros combats du Tonkin où il est blessé. Rapatrié en métropole après un très court repos, il se porte volontaire pour sauter à Dien Bien Phu et part avec un détachement, transporté par des avions gros porteurs américains. C’est avec une grande tristesse qu’il arrive en Indochine la nuit de la chute du camp retranché. Avec un des tous derniers bataillons parachutistes d’Indochine, il participe aux derniers et terribles combats sur les hauts plateaux où le GM100 est anéanti.
Puis, c’est l’Algérie, où il se fait remarquer au Commando du 8ème régiment Para en effectuant des dizaines de fois des opérations en tenue rebelle dans les Aurès Nemencha, et jusqu’en Tunisie… avec seulement quatre ou cinq hommes. Grièvement blessé dans un combat au corps à corps et hospitalisé à Philippeville, il réalise alors que l’armée française va gagner la guerre militairement, mais que De Gaulle la lui fera perdre politiquement.
La mort dans l’âme, il quitte l’Armée et s’installe à Tébessa, crée un emploi mais s’occupe surtout de la jeunesse de cette région. Il anime une troupe scoute de 150 jeunes et une maison des jeunes en comptant 300. Son recrutement au prorata de la population, compte 1% de petits chrétiens, 1% de petits juifs, et 98% de petits musulmans. Fait exceptionnel, il est cité pour son action envers la jeunesse musulmane
Les événements prenant malheureusement la tournure qu’il avait envisagée, il prend le maquis, pour garder l’Algérie et le Sahara à la France. Arrêté, emprisonné à la prison de Bône, il organise une évasion rocambolesque et s’enfuit avec tous les détenus « Algérie française ». Il forme alors le deuxième maquis Bonaparte. Encerclé par deux régiments révoltés et tombés aux mains de l’Organisation Communiste du Contingent (qui ont arrêté leurs officiers), il se refuse à faire tirer sur des individus qui n’ont pour seul slogan que le hurlement « La quille !...La quille !... ». Il n’accepte de se rendre qu’au Général Ducourneau, qu’il a connu en Indochine. Il est lourdement condamné. Dès sa libération, il reprend le combat politique qu’il continue aujourd’hui, pour que la France reste la France, contre l’immigration invasion,… le danger islamiste,…pour la réconciliation nationale, afin que la fille aînée de l’Église reste une terre chrétienne.
•Éditions d’Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-36611-000-5, 1 volume 16 x 24, 428 pages.
Durant la guerre 39/45, il est pensionnaire à la Pension Clerbois à Rosny-sous-Bois. Il est alors membre d’une troupe scoute clandestine et effectue de nombreuses missions de nuit pour la résistance.
À la libération, quittant la pension sans autorisation, il enlève, seul, deux mitrailleuses jumelées aux Allemands à la gare de triage de Noisy-le –Sec, devenant ainsi un des plus jeunes résistants de France.
À 17 ans, falsifiant ses papiers, il s’engage dans la Marine et part volontaire pour l’Indochine où il sert à la 1ère division Navale d’Assaut.
De retour en France, il se rengage aux Commandos Parachutistes Coloniaux et participe à tous les gros combats du Tonkin où il est blessé. Rapatrié en métropole après un très court repos, il se porte volontaire pour sauter à Dien Bien Phu et part avec un détachement, transporté par des avions gros porteurs américains. C’est avec une grande tristesse qu’il arrive en Indochine la nuit de la chute du camp retranché. Avec un des tous derniers bataillons parachutistes d’Indochine, il participe aux derniers et terribles combats sur les hauts plateaux où le GM100 est anéanti.
Puis, c’est l’Algérie, où il se fait remarquer au Commando du 8ème régiment Para en effectuant des dizaines de fois des opérations en tenue rebelle dans les Aurès Nemencha, et jusqu’en Tunisie… avec seulement quatre ou cinq hommes. Grièvement blessé dans un combat au corps à corps et hospitalisé à Philippeville, il réalise alors que l’armée française va gagner la guerre militairement, mais que De Gaulle la lui fera perdre politiquement.
La mort dans l’âme, il quitte l’Armée et s’installe à Tébessa, crée un emploi mais s’occupe surtout de la jeunesse de cette région. Il anime une troupe scoute de 150 jeunes et une maison des jeunes en comptant 300. Son recrutement au prorata de la population, compte 1% de petits chrétiens, 1% de petits juifs, et 98% de petits musulmans. Fait exceptionnel, il est cité pour son action envers la jeunesse musulmane
Les événements prenant malheureusement la tournure qu’il avait envisagée, il prend le maquis, pour garder l’Algérie et le Sahara à la France. Arrêté, emprisonné à la prison de Bône, il organise une évasion rocambolesque et s’enfuit avec tous les détenus « Algérie française ». Il forme alors le deuxième maquis Bonaparte. Encerclé par deux régiments révoltés et tombés aux mains de l’Organisation Communiste du Contingent (qui ont arrêté leurs officiers), il se refuse à faire tirer sur des individus qui n’ont pour seul slogan que le hurlement « La quille !...La quille !... ». Il n’accepte de se rendre qu’au Général Ducourneau, qu’il a connu en Indochine. Il est lourdement condamné. Dès sa libération, il reprend le combat politique qu’il continue aujourd’hui, pour que la France reste la France, contre l’immigration invasion,… le danger islamiste,…pour la réconciliation nationale, afin que la fille aînée de l’Église reste une terre chrétienne.
•Éditions d’Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-36611-000-5, 1 volume 16 x 24, 428 pages.
C'était des hommes. Roger Holeindre
Depuis des siècles il y a eu des hommes, et des femmes qui ont laissé leur nom dans l’Histoire pour avoir consacré leur vie au service de leurs contemporains, allant jusqu’au sacrifice de ce qu’ils avaient de plus cher, leur vie même… Ils n’étaient pas des hommes parfaits : la perfection n’est pas de ce monde. Ils avaient leur travers, leur caractère. Mais à travers les évènements qui marquèrent le temps où ils vivaient, ils surent toujours entreprendre le bon combat. Celui qui, dans la vérité, défendait ce qui constitue l’essentiel de l’ordre naturel humain : la liberté…
Pour quelques-uns, leur nom a subsisté à l’oubli qu’engendre le temps qui passe. Homme ou femmes, leur nom et leur action demeurent dans les mémoires et… dans les livres d’histoire. Je ne citerai qu’un seul de ces noms, celui de Jeanne d’Arc, à qui la France a rendu tout récemment un solennel hommage.
Beaucoup plus nombreux sont ceux qui n’ont pas franchi l’épreuve du temps, soit en raison de la modicité de leur intervention, soit, le plus souvent, parce que celle-ci s’est heurtée à l’indifférence de leurs contemporains ou à la résistance de personnalités ou de factions subversives.
Roger Holeindre a eu le mérite, et le courage, de rassembler les témoignages de ceux qui, à sa connaissance, ont mené le bon combat durant la seconde moitié du XXe siècle, parmi lesquels, nombreux sont ceux qui, pour “garantir” leur témoignage, ont payé de leur vie.
Quel que soit leur lieu de naissance ou la couleur de leur peau, vivants ou morts, tous ont un lien avec l’Indochine et la guerre que la France a été contrainte à y mener. Parce que les combattants d’Indochine n’ont jamais eu l’appui réel de la Nation, parce que ceux qui vivaient sur cette terre que nous avions le devoir de protéger, ont été lâchement abandonnés, on comprend leur réaction et leur souci de retrouver au moins le respect de la Nation qu’ils ont servi avec fidélité jusqu’au bout. Roger Holeindre a écrit “C’était des hommes”… pour qu’il reste une trace de leur vie dont l’indéniable exemplarité ne peut être qu’utile dans le monde “déboussolé” où nous vivons. Lorsqu’il m’a demandé de préfacer son ouvrage, j’ai accepté de grand cœur. Je ne savais pas qu’il me citait en bonne place digne de l’exemplarité… je n’en suis toujours pas convaincu…
Je connais Roger Holeindre depuis près de soixante ans. Nous nous sommes rencontré en décembre 1951 à l’assemblée générale annuelle de l’Association des Anciens du CEFEO, dont j’étais président national par intérim depuis le mois de mars. Venant de rentrer en métropole, à la fin de son deuxième séjour en “Indo”. Il accompagnait un de nos plus extraordinaires aumôniers, le Père Jego… Roger était déjà connu chez les paras sous le surnom amical de “Popeye”. L’étincelle jaillit au cours de cette brève rencontre. Depuis, nous ne nous sommes plus quittés, ni de pensée, ni de cœur, même si cela n’était pas toujours évident. À tel point que très rapidement, on aurait pu dire de nous : Si l’on connait la pensée de l’un, on connaît la pensée de l’autre…
Pour tout ce qu’il rapporte dans son ouvrage des évènements de cette seconde moitié du XXe siècle, je dis : c’est vrai. J’approuve totalement sa conclusion. Ce qu’il faut réformer, c’est l’homme !… C’ÉTAIT DES HOMMES mérite d’être le livre de l’année.
Yves Gignac
•Éditions d’Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-914874-93-9, 1 volume 15 x 21, 480 pages.
Pour quelques-uns, leur nom a subsisté à l’oubli qu’engendre le temps qui passe. Homme ou femmes, leur nom et leur action demeurent dans les mémoires et… dans les livres d’histoire. Je ne citerai qu’un seul de ces noms, celui de Jeanne d’Arc, à qui la France a rendu tout récemment un solennel hommage.
Beaucoup plus nombreux sont ceux qui n’ont pas franchi l’épreuve du temps, soit en raison de la modicité de leur intervention, soit, le plus souvent, parce que celle-ci s’est heurtée à l’indifférence de leurs contemporains ou à la résistance de personnalités ou de factions subversives.
Roger Holeindre a eu le mérite, et le courage, de rassembler les témoignages de ceux qui, à sa connaissance, ont mené le bon combat durant la seconde moitié du XXe siècle, parmi lesquels, nombreux sont ceux qui, pour “garantir” leur témoignage, ont payé de leur vie.
Quel que soit leur lieu de naissance ou la couleur de leur peau, vivants ou morts, tous ont un lien avec l’Indochine et la guerre que la France a été contrainte à y mener. Parce que les combattants d’Indochine n’ont jamais eu l’appui réel de la Nation, parce que ceux qui vivaient sur cette terre que nous avions le devoir de protéger, ont été lâchement abandonnés, on comprend leur réaction et leur souci de retrouver au moins le respect de la Nation qu’ils ont servi avec fidélité jusqu’au bout. Roger Holeindre a écrit “C’était des hommes”… pour qu’il reste une trace de leur vie dont l’indéniable exemplarité ne peut être qu’utile dans le monde “déboussolé” où nous vivons. Lorsqu’il m’a demandé de préfacer son ouvrage, j’ai accepté de grand cœur. Je ne savais pas qu’il me citait en bonne place digne de l’exemplarité… je n’en suis toujours pas convaincu…
Je connais Roger Holeindre depuis près de soixante ans. Nous nous sommes rencontré en décembre 1951 à l’assemblée générale annuelle de l’Association des Anciens du CEFEO, dont j’étais président national par intérim depuis le mois de mars. Venant de rentrer en métropole, à la fin de son deuxième séjour en “Indo”. Il accompagnait un de nos plus extraordinaires aumôniers, le Père Jego… Roger était déjà connu chez les paras sous le surnom amical de “Popeye”. L’étincelle jaillit au cours de cette brève rencontre. Depuis, nous ne nous sommes plus quittés, ni de pensée, ni de cœur, même si cela n’était pas toujours évident. À tel point que très rapidement, on aurait pu dire de nous : Si l’on connait la pensée de l’un, on connaît la pensée de l’autre…
Pour tout ce qu’il rapporte dans son ouvrage des évènements de cette seconde moitié du XXe siècle, je dis : c’est vrai. J’approuve totalement sa conclusion. Ce qu’il faut réformer, c’est l’homme !… C’ÉTAIT DES HOMMES mérite d’être le livre de l’année.
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Les Éditions d'Héligoland ©
BP 125 - F-27800 Brionne [Normandie]
Déclaration au Journal Officiel 19-09-98. n°38 - 130e année — N° SIRET : 421.115.866.00020 - NAF : 5811Z - CS : 92.20
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