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Que Dieu sauve la France. Roger Holeindre
Roger Holeindre est né en Corse en 1929 dans une famille paysanne et ouvrière. Il passe une partie de sa jeunesse à Paris et en banlieue.
Durant la guerre 39/45, il est pensionnaire à la Pension Clerbois à Rosny-sous-Bois. Il est alors membre d’une troupe scoute clandestine et effectue de nombreuses missions de nuit pour la résistance.
À la libération, quittant la pension sans autorisation, il enlève, seul, deux mitrailleuses jumelées aux Allemands à la gare de triage de Noisy-le –Sec, devenant ainsi un des plus jeunes résistants de France.
À 17 ans, falsifiant ses papiers, il s’engage dans la Marine et part volontaire pour l’Indochine où il sert à la 1ère division Navale d’Assaut.
De retour en France, il se rengage aux Commandos Parachutistes Coloniaux et participe à tous les gros combats du Tonkin où il est blessé. Rapatrié en métropole après un très court repos, il se porte volontaire pour sauter à Dien Bien Phu et part avec un détachement, transporté par des avions gros porteurs américains. C’est avec une grande tristesse qu’il arrive en Indochine la nuit de la chute du camp retranché. Avec un des tous derniers bataillons parachutistes d’Indochine, il participe aux derniers et terribles combats sur les hauts plateaux où le GM100 est anéanti.
Puis, c’est l’Algérie, où il se fait remarquer au Commando du 8ème régiment Para en effectuant des dizaines de fois des opérations en tenue rebelle dans les Aurès Nemencha, et jusqu’en Tunisie… avec seulement quatre ou cinq hommes. Grièvement blessé dans un combat au corps à corps et hospitalisé à Philippeville, il réalise alors que l’armée française va gagner la guerre militairement, mais que De Gaulle la lui fera perdre politiquement.
La mort dans l’âme, il quitte l’Armée et s’installe à Tébessa, crée un emploi mais s’occupe surtout de la jeunesse de cette région. Il anime une troupe scoute de 150 jeunes et une maison des jeunes en comptant 300. Son recrutement au prorata de la population, compte 1% de petits chrétiens, 1% de petits juifs, et 98% de petits musulmans. Fait exceptionnel, il est cité pour son action envers la jeunesse musulmane
Les événements prenant malheureusement la tournure qu’il avait envisagée, il prend le maquis, pour garder l’Algérie et le Sahara à la France. Arrêté, emprisonné à la prison de Bône, il organise une évasion rocambolesque et s’enfuit avec tous les détenus « Algérie française ». Il forme alors le deuxième maquis Bonaparte. Encerclé par deux régiments révoltés et tombés aux mains de l’Organisation Communiste du Contingent (qui ont arrêté leurs officiers), il se refuse à faire tirer sur des individus qui n’ont pour seul slogan que le hurlement « La quille !...La quille !... ». Il n’accepte de se rendre qu’au Général Ducourneau, qu’il a connu en Indochine. Il est lourdement condamné. Dès sa libération, il reprend le combat politique qu’il continue aujourd’hui, pour que la France reste la France, contre l’immigration invasion,… le danger islamiste,…pour la réconciliation nationale, afin que la fille aînée de l’Église reste une terre chrétienne.
•Éditions d’Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-36611-000-5, 1 volume 16 x 24, 428 pages.
Durant la guerre 39/45, il est pensionnaire à la Pension Clerbois à Rosny-sous-Bois. Il est alors membre d’une troupe scoute clandestine et effectue de nombreuses missions de nuit pour la résistance.
À la libération, quittant la pension sans autorisation, il enlève, seul, deux mitrailleuses jumelées aux Allemands à la gare de triage de Noisy-le –Sec, devenant ainsi un des plus jeunes résistants de France.
À 17 ans, falsifiant ses papiers, il s’engage dans la Marine et part volontaire pour l’Indochine où il sert à la 1ère division Navale d’Assaut.
De retour en France, il se rengage aux Commandos Parachutistes Coloniaux et participe à tous les gros combats du Tonkin où il est blessé. Rapatrié en métropole après un très court repos, il se porte volontaire pour sauter à Dien Bien Phu et part avec un détachement, transporté par des avions gros porteurs américains. C’est avec une grande tristesse qu’il arrive en Indochine la nuit de la chute du camp retranché. Avec un des tous derniers bataillons parachutistes d’Indochine, il participe aux derniers et terribles combats sur les hauts plateaux où le GM100 est anéanti.
Puis, c’est l’Algérie, où il se fait remarquer au Commando du 8ème régiment Para en effectuant des dizaines de fois des opérations en tenue rebelle dans les Aurès Nemencha, et jusqu’en Tunisie… avec seulement quatre ou cinq hommes. Grièvement blessé dans un combat au corps à corps et hospitalisé à Philippeville, il réalise alors que l’armée française va gagner la guerre militairement, mais que De Gaulle la lui fera perdre politiquement.
La mort dans l’âme, il quitte l’Armée et s’installe à Tébessa, crée un emploi mais s’occupe surtout de la jeunesse de cette région. Il anime une troupe scoute de 150 jeunes et une maison des jeunes en comptant 300. Son recrutement au prorata de la population, compte 1% de petits chrétiens, 1% de petits juifs, et 98% de petits musulmans. Fait exceptionnel, il est cité pour son action envers la jeunesse musulmane
Les événements prenant malheureusement la tournure qu’il avait envisagée, il prend le maquis, pour garder l’Algérie et le Sahara à la France. Arrêté, emprisonné à la prison de Bône, il organise une évasion rocambolesque et s’enfuit avec tous les détenus « Algérie française ». Il forme alors le deuxième maquis Bonaparte. Encerclé par deux régiments révoltés et tombés aux mains de l’Organisation Communiste du Contingent (qui ont arrêté leurs officiers), il se refuse à faire tirer sur des individus qui n’ont pour seul slogan que le hurlement « La quille !...La quille !... ». Il n’accepte de se rendre qu’au Général Ducourneau, qu’il a connu en Indochine. Il est lourdement condamné. Dès sa libération, il reprend le combat politique qu’il continue aujourd’hui, pour que la France reste la France, contre l’immigration invasion,… le danger islamiste,…pour la réconciliation nationale, afin que la fille aînée de l’Église reste une terre chrétienne.
•Éditions d’Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-36611-000-5, 1 volume 16 x 24, 428 pages.
Armorial des communes de l'Algérie française. Jean-Paul Fernon & Nicolas Vernot
Voici la nouvelle édition de "l'Armorial des communes de l'Algérie française" revue, corrigée et augmentée depuis sa première publication en 2005, épuisée depuis plusieurs années. Il nous a semblé, en cette année 2012, 50e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, que cet ouvrage avait sa place parmi tous ceux qui paraissent à cette occasion.
Nous avons tenu compte des informations et des remarques qui nous ont été envoyées par de nombreux correspondants, ce qui nous a permis de corriger ou de compléter quelques articles. Nous avons retrouvé depuis 2005 certains blasons créés avant l'indépendance en 1962. Mais nous avons aussi ajouté ceux créés après 1962 par des associations d'habitants de petits villages qui n'en possédaient pas : nous avons jugé que ces armes, étant pour eux un signe de ralliement loin de leur patrie, méritaient, surtout quand elles répondaient aux règles de l'héraldique, d'être signalées au même titre que celles adoptées officiellement par les communes à l'époque de la présence française.
Jean-Paul FERNON
• Éditions d’Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-914874-94-6, 1 volume 16 x 24, 330 pages.
Nous avons tenu compte des informations et des remarques qui nous ont été envoyées par de nombreux correspondants, ce qui nous a permis de corriger ou de compléter quelques articles. Nous avons retrouvé depuis 2005 certains blasons créés avant l'indépendance en 1962. Mais nous avons aussi ajouté ceux créés après 1962 par des associations d'habitants de petits villages qui n'en possédaient pas : nous avons jugé que ces armes, étant pour eux un signe de ralliement loin de leur patrie, méritaient, surtout quand elles répondaient aux règles de l'héraldique, d'être signalées au même titre que celles adoptées officiellement par les communes à l'époque de la présence française.
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• Éditions d’Héligoland. 2012, ISBN : 978-2-914874-94-6, 1 volume 16 x 24, 330 pages.
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Les Éditions d'Héligoland ©
BP 125 - F-27800 Brionne [Normandie]
Déclaration au Journal Officiel 19-09-98. n°38 - 130e année — N° SIRET : 421.115.866.00020 - NAF : 5811Z - CS : 92.20
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